“Pourquoi Québec ne devrait pas suspendre le programme de parrainage collectif des réfugiés”, nouvel article d’Adèle Garnier et Shauna Labman

Adèle Garnier, professeure adjointe au Département de géographie de l’Université Laval et membre de l’ÉRIQA et Shauna Labman, Associate Professor of Human Rights à l’University of Winnipeg viennent de publier un nouvel article dans The Conversation : Pourquoi Québec ne devrait pas suspendre le programme de parrainage collectif des réfugiés.

Extrait

Depuis plus de 40 ans, le Canada est à l’avant-garde du parrainage collectif des réfugiés.

Or, en octobre, le gouvernement du Québec a annoncé une suspension partielle du programme provincial de parrainage des réfugiés. Jusqu’au 1er novembre 2021, les organismes de parrainage ne peuvent plus parrainer de réfugiés souhaitant venir s’établir au Québec. Seuls les groupes de deux à cinq « personnes physiques » peuvent parrainer des réfugiés.

Les organismes de parrainage de réfugiés sont des groupes à but non lucratif, fréquemment confessionnels, établis depuis au moins deux ans et politiquement neutres. Lire la suite…

Cet article a initialement été publié en anglais et est intitulé : Why Québec’s refugee sponsorship suspension is so misguided.

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