Luna Vives, professeure adjointe au département de géographie de l’Université de Montréal et membre ÉRIQA, et Elizabeth Hessek, étudiante au doctorat en géographie à l’Université de Montréal, signent un article d’opinion dans La Presse cette semaine au sujet du chemin Roxham et du désir de la province de le voir fermer. Vives et Hessek lancent l’alerte face au danger pour les vies humaines que représenterait toute tentative d’étanchéifier la frontière, en créant l’opportunité parfaite pour le développement d’un réseau de passeurs comme les fameux et violents “coyotes” qui opèrent à la frontière américano-mexicaine.
Lisez l’article complet sur le site web de La Presse.
Le renforcement de la frontière … crée les conditions idéales pour le développement d’une industrie criminelle faisant le commerce des vies humaines. Le Québec doit donc résister à l’ambition d’investir dans des approches peu pratiques, populistes et qui, à court terme, ne font rien pour freiner la migration et la poussent plutôt vers la clandestinité.