L’Observatoire international sur les impacts sociétaux de l’IA et du numérique organise un webinaire le 27 septembre sur les effets de l’automatisation et de l’intelligence artificielle sur l’immigration au Canada.
*A noter que le webinaire sera en anglais
La gestion de l’immigration au Canada est en voie d’être profondément transformée. Les infrastructures de big data, l’intelligence artificielle (IA) et les outils de prise de décision automatisés promettent d’éliminer les retards, de réduire les délais d’attente, d’éviter les erreurs administratives et d’assurer une évaluation plus rapide et plus équitable des demandes de ceux qui souhaitent franchir les frontières canadiennes. La détermination de « qui peut entrer » étant de plus en plus assistée par l’automatisation, une spirale de changements rapides et profonds a modifié la relation à l’immigration et pour les candidats à l’immigration dont le parcours de vie pourrait être affecté. Quels sont les effets de l’introduction de systèmes d’aide à la décision dans l’analyse des dossiers d’immigration sur les candidats à l’immigration? Comment l’introduction de ces outils affecte-t-elle le rôle des acteurs tels que les universités, les employeurs, l’industrie de la migration?
Cette table ronde abordera ces questions. Il s’agira du séminaire de lancement de la série de séminaires IMM-AIA. Il réunira des avocats et des consultants en immigration canadiens à l’avant-garde de ces transformations ainsi que des chercheurs de la Chaire de recherche du Canada sur les processus migratoires mondiaux et des membres de l’équipe du projet « Le nouveau visage de la gestion des migrations au Canada : Numérisation, automatisation et IA » financé par le Conseil de recherches en sciences sociales du Canada.
Un webinaire sous la présidence de Céline Castets-Renard, membre de l’Obvia, Professeure titulaire, Section de droit civil, Faculté de droit Chaire de recherche de l’Université sur l’intelligence artificielle responsable à l’échelle mondiale, Université d’Ottawa.
À l’animation, Adèle Garnier, Professeure agrégée, Département de géographie, membre du projet faisant l’objet du panel, Directrice du CELAT, Université Laval et membre ÉRIQA.
Présentations:
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